Ma cabane en bois ...
De tristes journées passées, dans cette cabane a me réfugier
A regarder la pluie tomber, et a m'imaginer
Au milieu des nuages, parmi ce beau paysage
Ou se trouvait Oscar, qui avait cent fois mon âge.
Ce lieu particulier, où l'on pouvait penser
Avait un atout majeur, celui de ses odeurs
Provenant de ses fleurs, reflétant le bonheur
Et de ses orchidées qui me faisaient rêver.
Dominant cette merveille, ma cabane de bois
Perchée dans un vieux chêne, m'enchantant par sa voix
D'abord illuminée d'une part d'espérance,
Puis ensuite ombragée par toute mon innocence.
Pendant tout un hiver, j'ai imploré ma mère
De retrouver la terre, inondée de mystère
Près de mon bel Oscar, qu'il me tardait de voir
Car seule sa présence, me redonnait espoir.
Quand je suis revenue, J'en ai pris plein la vue
Car rien avait changé, j'étais émerveillée
Le silence et la paix, venant du bois épais
Créerent alors en moi, des sentiments confus.
L'amour et l'amitié, deux ombres entremelées
Rares sont les quelques gens, qui n'en ont pas pleuré
La nature quant a elle, t'aimera pour toujours
Une oreille attentive, qui est la chaque jour.
Avec nostalgie, je me suis alors dit
Que continuait la vie, et ce malgré la pluie
Après avoir eu peur dans la cabane aux pleurs
Je ramasse cent fleurs, signe de mon bonheur.
De tristes journées passées, dans cette cabane a me réfugier
A regarder la pluie tomber, et a m'imaginer
Au milieu des nuages, parmi ce beau paysage
Ou se trouvait Oscar, qui avait cent fois mon âge.
Ce lieu particulier, où l'on pouvait penser
Avait un atout majeur, celui de ses odeurs
Provenant de ses fleurs, reflétant le bonheur
Et de ses orchidées qui me faisaient rêver.
Dominant cette merveille, ma cabane de bois
Perchée dans un vieux chêne, m'enchantant par sa voix
D'abord illuminée d'une part d'espérance,
Puis ensuite ombragée par toute mon innocence.
Pendant tout un hiver, j'ai imploré ma mère
De retrouver la terre, inondée de mystère
Près de mon bel Oscar, qu'il me tardait de voir
Car seule sa présence, me redonnait espoir.
Quand je suis revenue, J'en ai pris plein la vue
Car rien avait changé, j'étais émerveillée
Le silence et la paix, venant du bois épais
Créerent alors en moi, des sentiments confus.
L'amour et l'amitié, deux ombres entremelées
Rares sont les quelques gens, qui n'en ont pas pleuré
La nature quant a elle, t'aimera pour toujours
Une oreille attentive, qui est la chaque jour.
Avec nostalgie, je me suis alors dit
Que continuait la vie, et ce malgré la pluie
Après avoir eu peur dans la cabane aux pleurs
Je ramasse cent fleurs, signe de mon bonheur.